Voilà 23ans que je suis sur terre, et autant de temps que je suis seul, je décide d’écrire ces quelques lignes pour vous conter mon histoire, celle d’un partisan sans intérêt.

Chap. : 01 mon enfance

J’aurais aimé vous dire que ma naissance fut atroce et que mes parent me battais continuellement, et que pour cela je suis entré dans les rangs des partisans de Cronos mais ce serais un mensonge…
Je suis née dans un centre hospitalier comme tout le monde et j’ai était aimer par ma mère et mon beau-père comme il l’était possible, mais j’ai toujours sus que je n’étais pas « normal » une chose en moi voulait sortir, s’exprimer, mais quoi ?
Ça je l’ai découvert lors de mes six ans, lorsque j’ai tué mon premier être vivant, le chat de la famille.
Comme souvent mes deux parents travaillez et j’étais seul chez moi, j’avais eu l’idée pour la fête des mères de faire un dessin à ma mère et d’y collé les photos de toute la famille, comme à mon habitude je courrais partout, même avec un objet entre les mains… cette fois ci l’objet en question était un ciseau.
Le chat avais l’habitude de courrier de partout et surtout passais entre les jambes de tout le monde, il me fit basculer en heurtant mon pied et en un instant je me retrouvais au sol avec du sang plein les mains.
« Mais ?! Que ?! Je saigne !! »
Je regardais mes mains couvertes de sang mais aucune blessure, d’où pouvais parvenir tout ce sang alors ?
Je me relevais en silence et vit le chat, les ciseaux plantés dans la gorge.
Je me souviens de deux choses étranges, n’avoir rien ressenti en voyant la dépouille de notre chat et m’être senti supérieur à tout être vivant, j’avais le pouvoir de vie ou de mort, imaginez un gamin de six ans qui se sent le roi du monde.
C’était bien sur un accident bien regrettable mais cela m’a aidé à savoir ce que je suis, un lion partis les agneaux.
A partis de ce jour mon jeu favori était devenu la chasse, je ne voulais être le prédateur et non la proie.

Chap. : 02 mon adolescence et mes pouvoirs

Allan de bagarre en bagarre et de chasse en chasse j’ai grandi, j’étais maintenant au collège, si vous lisez cette lettre en que le collège n’existe plu à ce moment la sachez que je me fais un plaisir de vous le décrire : c’est un endroit froid ou on enferme de jeunes enfant pendant huit heures dans une salle avec un vielle homme qui leurs crie dessus pour soit disant leurs faire apprendre des choses.
Mais moi je n’ai jamais pu rester huit heures sans bouger, cela m’était tout simplement impossible, mon corps entier bouillonnais a l’idée de sortir de cet établissement, et comme je suis seul maitre de moi-même je faisais souvent le mur, je ne savais pas encore mais je me servais déjà de mes pouvoir, en latence bien évidement mais je m’en servais quand même.
Je ne soupçonnais même pas toute la puissance qui s’offrait à moi jusqu’à ce jour…
J’étais en 3ème et Je venais de massacré un gars du collège (encore…)
Quand un homme vint me voir à la sortie des cours
« Bonjour Nikolaï, puis je te parlé quelques secondes ? »
L’homme était habiller tout en noir, seul son visage était blanc, mais en pleine rue et moi qui n’est jamais perdu contre personne je ne risquais rien…
« Euh… oui, mais qui êtes-vous ? »
« Qui je suis ? Cela a peu d’importance, ce qu’il faut savoir c’est qui tu es vraiment ! Tu n’es pas celui que tu crois, tu n’as jamais eu envie d’autre chose ? D’une vie plus rempli que celle-là ? »
L’homme semblait de plus en plus bizarre, il commençait à me donner des sueurs froides
« On va se calmé monsieur cheloux, vous croyais vraiment que je vais vous dire oui et que je vais partir avec vous ? Mais vous êtes malade »
« Je me doutais que tu dirais ça, quand tu rentreras chez toi demande à ta mère qui est ton VRAI père »
« Mon vrai père ? C’est mon père actuel Quesque tu raconte ? »
L’homme était de plus en plus étrange et je n’aimais pas cela
« Non, ton vrai père est un dieu, pas au sens figuré mais au sens propre, c’et apollon, les dieux de la médecine et du soleil »
A ces mot là j’éclatais de rire au nez de ce pauvre homme, il n’était pas dangereux mais  juste déficient mental
« Tu ne t’est jamais demander comment tu faisais pour savoir à l’avance les mouvement de ton adversaire ? Comment tu savais quand faire le mur sans que le professeur ne fasse l’appel du présent ? Ou encore pourquoi tu n’as jamais était gravement bléser alors que tu te bats tous les jours ? »
Mon visage ce crispa a ces interrogations, je n’y avais jamais pensé mais ses argument tenez la route, c’était vraiment déroutant
« Retrouve moi demain ici à la même heure et je t’amènerais dans un endroit où tu seras libre de faire ce que tu veux et surtout tu apprendras à te servir de tes dons »

Chap. : 03 révélation et départ

Je me retrouvai donc dans ma chambre à attendre le diner, la parole de cet homme résonnait dans ma tête, moi fils d’un dieu, rien de plus stupide…
Mais ses arguments tenez la route, il fallait que je tire ça au clair
« Chérie viens manger !! »
Pille à temps, je vais régler ça à table.
Maman avais fait un bon plat chaud, et tout le monde était la
« Maman, qui est mon père ? »
Ma mère me regarda fixement avec le regard vide alors que mon père risqua de s’étouffé en mangeant
« Quoi ? Mais c’est lui ton père, pourquoi cette question ? »
Ma mère devenait rouge, comme si elle me cachait quelque chose, je commençai à la connaitre dans les moindres détails et je savais qu’elle me mentait
« Qui est mon vrai père ? JE VEUX UNE REPONSE !!! »
Je pris mon couteau et me jeta sur ma mère, ma lame était contre sa jugulaire, je sentais les battements de son cœur s’accéléré à chaque minutes.
Mon père se leva d’un seul coup et voulu s’approché.
« Si tu t’approches je la crève !! Alors maman qui est mon père ? REPOND !!!! »
« Un… un homme qui se dit être... apollon, nous avons eu une aventure et il et partis sans rien dire »
Elle venait de fondre en larme et le visage de l’homme que j’avais appelais papa était devenu pale
« Quand contais tu me le dire ?? Jamais ?? Tu es une mère indigne »
A ce moment précis le lui découpais la chair, laissant ma pauvre mère tombé dans sa marre de sang poisseux, haletant comme un poisson hors de l’eau.
Mon père encore sous le choc de ce qui venais de se passais ne bougeât même pas quand je lui ouvris la gorge de gauche à droite, un coup net et précis…
Voilà, maintenant je pouvais partir.

Chap. : 04 le camp et ma transformation

Le lendemain je me postais au même endroit à la même heure en attendant l’homme patiemment
« Bien, je vois que tu es la »
Il venait d’arriver, et ne semblais pas surpris de me voir
« Tu as tout emporté, tu ne peux plu faire demi-tour maintenant »
« C’est bon, j’ai tout pris… allons y »
Et c’est comme ça que je suis entré dans les partisans de Cronos, j’avais à peine quinze ans à l’époque, j’en ai vingt-trois à présent, j’ai appris à me servir de mes dons et combattre n’importe quel ennemi, je pense constamment au prochain coup ce qui fait de moi un stratège hors pair.
Quand je suis parti de chez moi je n’étais juste qu’un gamin qui avais assassiné ses parents, mais maintenant je suis un partisan de Cronos, je suis devenu un homme au fil du temps et je resterai fidèle a Cronos en toute circonstances